Aujourd’hui je ne suis plus, qui
Fernando Pessoa voudrait que je fusse
et moi aussi croyais être.
Refoulé le malheur.
Je suis le frère que nous n’avons pas eu,
capable de rester avec lui,
sans être comme lui,
Il m’offre des libertés,
la principal desquelles,
me permet d’aimer la poésie.
Comme je le fis avec Schubert.
Artur da Távola do original “Herança” (trad: Fernando Oliveira)
Assistente editor: Hugo de Aguiar
deaguiar.hugo@gmail.com
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