le joyeux savoir, bat la parole-pain
la cité est peinte de poussière bleue
alors, il n’y a plus rien a dire
que l’oubli d’un silence acéré
j’avance parmi les stries et coins
de l’aride pierre
je m’inflige le conflit des dents
ou la parole bondit
de l’unique matrice
c’est encore le silence que j’écoute
ici, au ras du sol d’un soleil sans ombre
couché dans la feuille humide
ou bat la dent, jusqu'aux tréfonds
d’un paisible océan
Traduction: Fernando Oliveira, de l’original ( O Saber ) de José Gil
Assistente editor: Hugo de Aguiar
deaguiar.hugo@gmail.com
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