Je vois le monde abjurer l’infini
Les êtres plonger dans le gouffre
D’hier, le bien maintenant abominé
Les âmes moribondes succomber!…
Je vois la lumière, à chaque instant plus sombre…
L’homme qui n’est plus ce qu’il était
Je vois que chacun creuse sa zone d’ombre…
De Dieu, être de plus en plus éloigné!…
Je vois l’humanité en constante frénésie
Le monde tout entier en constante confusion
Comme jamais, la vie ne fut!…
Je ne vois dans les signes des temps, aucune issue
Que le monde se prépare pour la fin…
J’invite l’être à la contrition!…
Euclides Cavaco
(trad, Fernando Oliveira)
Assistente editor: Hugo de Aguiar
deaguiar.hugo@gmail.com
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