dans les remparts de la maison
une sangria de corps
va en crescendo
alimenter la pellicule des murs
quelques vieilles mémoires d’hommes éteints
yeux fermés, par dedans
seulement fermés
avec une strophe encore plié
par la lacune de la caresse
j’escorte l’empreinte du bois qui m’emmène au feu perpétuel
si t’as renversé le calice
dieu a simplement pressenti
une légère sensation d’eau ruisselante
il caresse la rivière de tes cheveux
l’œuvre incube
disparaît dans l’aubade de la pierre et de la photo
Tradução : Fernando Oliveira, do original - sombra das paredes - de Jorge Vicente
Assistente editor: Hugo de Aguiar
deaguiar.hugo@gmail.com
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